C'est le moment de faire quelques emplettes. Je retrouve Feliciano, un marchand timide de la rue Sagarnaga. Je lui ai promis hier de lui acheter quelques tissus avant qu'il ne file vers Sucre pour les 15 jours de récolte de patates en famille.
Avec 5 kg de souvenirs sous le bras, je file à la poste... quel bordel ! Il ya là une vingtaine de jeunes israëliens, tous croulent sous les 20 à 25kg de leurs achats.... pour toute la smala !
2h30, et une grosse gueulante à l'encontre des fonctionnaires boliviens plus tard (j'm'entraîne pour le retour en France ?), je repars dans les rues de Tel Aviv. .. si si Tel Aviv
En cette veille de Pâques, La Paz est blindée d'Israëliens.
Bienvenue en territoire ocuppé, "la bande de La Paz".
Autant ils peuvent être adorables individuellement, autant lorsque leur instinct grégaire les pousse à reformer la tribu ils deviennent simplement détestables, agressifs, bruyants et impolis
Exception qui confirme la règle, je retrouve Shahar et Doron (Tupiza /Uyuni) pour un succulent repas à "l'Angelo Colonial" qui est devenu ma cantine. Un joyeux bric-à-brac, une véritable brocante dans une vieille maison de La Paz, à 2 pas du musée de la coca.
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